Finalement, la réalité rattrape l’idéalité du circuit fermé de la station. Les accidents sont partout, la boucle s’ouvre, les fluides et les déchets envahissent les espaces de travail. Le corps revient, sale et triomphant.
Hanter l’urbanisation d’une architecture érotique
Comment sortir de l’espace-temps linéaire du travail ?